dimanche 9 mai 2010

Une petite anticipation, je viens de recevoir le photos du bateau à l'eau je les postes mais je promet de finir la chronique de la restauration ultérieurement. Vola Liberté qui flotte:


A remarquer la pram en pendant avec Liberté.
La peinture du bateau à pris pas mal de temps, il a fallu bien nettoyer les vieux bois et protéger les partie neuves avec une peinture microporose. J'ai décidé que Liberté devait retrouver la couleur d'origine (ou presque) et, grattant les différentes couches on a pu constater qu'il etait bleu donc c'est acquis: les couches finales en bleu monastrial.


Apres il a fallu choisir la couleur de la peinture anti végétative j'ai opté pur un gris clair très beau et très cher, mais le résultat est gratifiant.



Daniel, un ami nous a prêté son bel hangar, à l'abris de la pluie pour terminer le travail (merci Daniel). Le plancher de Liberté était construit avec du contreplaqué assez laid et en mauvais état, les barreaux de soutiens n'étaient pas au même niveau, Vince avait autre chose à faire et je me suis lancé dans l'oeuvre de carreleur, rencontrand pas mal de problèmes du aussi à mon inexpérience.
La première opération a été la pose des lames pour vérifier le niveau, ensuite j'ai du tout démonter pour doubler quatre barreaux. Les trois lames centrales devait être mobiles pour pouvoir inspecter la cale. Une journée entière pour décider comment faire et pour exécuter.
La pose des lames laterale à été aussi difficile a cause des découpes qu'il a fallu faire pour adapter le plancher au membrures, cables, tuyaux des pompes etc. Bref je me suis cassé le dos et les genoux mais Liberté à son plancher et je trouve qu'il n'est pas si mal!

Entre temps le charpentier Jo Squiban à eu la gentillesse de construir le capot pour le moteur, condition essentielle pour la mise à l'eau. Je m'aperçois de ne l'avoir pas photographié, je vais remédier ......(a suivre)

vendredi 7 mai 2010

Je n'ai pas eu beaucoup de temps ce dernier mois pour écrire . J'avais hâte d'arriver à la fin du chantier pour la saison de la pêche qui va commencer. Il a fallu se presser et trouver la solution aux mille problèmes auquel on a du faire face. J'essais de remédier essentiellement avec les images. Dans la première photo Vince et moi peu avant que Liberté soit transféré dans le hangar pour le montage du moteur et la peinture finale.
Merci Giselle pour la photo.
Marcel dans son hangar a monté le moteur sur son bâti avec quelques petites mise à point, le problème principal à été le presse étoupe qui à du être adapté à l'arbre moteur (on ne voulait pas changer l'arbre et l'hélice à cause du budget explosé par l'achat du moteur neuf). Ensuite on c'est aperçu que le waterlock acheté était trop haut et on ne pouvait pas le caser. Marcel a construit un waterlock en inox "sur mesure". Le tableau électrique qui abrite les instrument, à été ,aussi, construit par Marcel, pas très élégant mais efficace.
Je passe les mises à point de l'échappement et de la prise d'eau de mer qui étaient inversées par rapport à l'ancien moteur
Pour caser la manette de controle on a du construire un support pour éviter quelle tape contre le banc ou le pont arrière .
Pour une question de place et pour ajouter un peu de pois à l'avant du bateau, le réservoir du gasoil est placé sous le pont avant, il sera caché par la bouée "fer de cheval" ou par une cloison, on verra ça après.
Fini la meccanique on est partis sur le changement de la bande molle, remplacée par une nouvelle en inox, et le changement l'aiguillon du gouvernail avant d'attaquer la peinture finale.

Voila la belle bande molle en place et le travail de peinture à peine commencé
Cet après-midi je vous parlerais de la peinture .

samedi 13 mars 2010

La lumiere au fond du tunnel


Infin on arrive à la fin du chemin (ou presque), le moteur neuf commandé à été livré et il attend d'être installé par un spécialiste. C'est un Volvo penta d1-13 la nouvelle génération du moteur d'origine. J'ai décidé de re-motoriser Liberté, malgré les heures passées sur l'ancien pour essayer de le remettre en fonction. Les pièces qui devaient être changées étaient tellement chères que l'enjeux ne valait pas le coup. Grace à un prêt accordé par ma banque me voila propriétaire d'un engin tout neuf et tout beau.


Pour pouvoir monter le moteur il a fallu qu'on déplace le bateau vers l'atelier de Marcel , le mécano. L'enlèvement et le transport on été assez compliqués à cause de l'emplacement du bateau assez restreint et de son gabarit.
la grosse remorque et le tracteur avaient du mal à passer dans le chemin et on à du descendre marche arrière jusqu'à la route principale. Heureusement que Marcel est très familier avec les manœuvres avec une remorque. Je laisse parler les images.

Et voila, Liberté est en ce moment dans un hangar pour une fois à l'abris. Pour pouvoir monter correctement le moteur il faudra changer le presse étoupe, adapter le bâtis moteur (pas trop puisque les moteurs sont plutôt compatibles). Je fais confiance à Marcel qui connait son métier pour que tout marche parfaitement. Entre temps les béquilles ont été coupées le gouvernail à une nouvelles barre et dés que possibles je vais donner les deux couches finales de peinture à Liberté. La peinture anti-vegetative sera la dernière des opérations à à faire après la mise à l'eau qui consentira de tracer la ligne de flottaison. Le nouveau corps mort est prêt et il est impatient de recevoir Liberté.


lundi 8 février 2010

Le résultat est émouvant

L’hiver a été très pluvieux cette année. Depuis novembre il a plu presque chaque jour. Nos projet de terminer la restauration de Liberté ont du être retardés une fois de plus.. Dés que possible on a repris le chantier en fermant l’espace sous le pont arrière qui servira pour abriter la batterie, le réservoir du gasoil et les dotations de sécurité.

Le safran a maintenant toute la ferraille en inox grâce à mon ami Ninì, sculpteur, qui a fabriqué les parties métalliques qui le relient au bateau.

Pour la lasure et la peinture on a du attendre qu’un timide soleil fasse son apparition. Enfin, les premiers jours de février, on a une « fenêtre » météo favorable et, malgré le froid on est partis. Les ponts ont été poncés pendant plusieurs jours pour obtenir un résultât satisfaisant.

Pour le protéger, on a décidé de nous servir d’une lasure suisse très résistante aux éléments qui a l’avantage d’être plus facile à étendre que le vernis marin.

Il en faudra quatre couches pour une protection adéquate.

Benoit, un ami de Vincent venu en visite, a volontiers accepté de nous donner un coup de main pour la peinture. Soit pour les ponts que pour l’intérieur du bateau.

La coque attend une autre couche de blanc et après deux de bleu marine (la photo montre un essais du résultat final ). L'anti végétative sera mise après la mise à l'eau pour pouvoir déterminer exactement la ligne de flottaison.

Aujourd’hui il pleuviote mais on espère que demain le temps soit sec pour continue

Je dois dire que voir Liberté propre et sain m’a ému. Un ans s’et écoule depuis sa mise à sec et si je pense aux « misères » qu’on découvrait chaque jours je ne crois pas à mes yeux. Liberté est magnifique, on n'a pas voulu couvrir toutes ses "rides" on crois qu'il doit garder son caractère de bateau de pêche. Maintenant il est presque prêt à naviguer (Dés qu'on aura monté le nouveau moteur que je viens d’acheter).

Je crois que vers la fin du mois de mars Liberté sera à l’eau, prêt pour la saison de pêche. Une fois à l’eau je penserais au mat et aux gréements pour la navigation à la voile.